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Le Temps... qui n'existe pas.



Le Temps (qui n’existe pas – ou, du moins, qui n’a « ni queue ni tête » : voir le roman* au découpage quasi-cinématographique, en bas de la dernière page du site,)…

Le Temps (pourquoi ce « T » majuscule, alors, direz-vous ?-.. cherchez ou lisez plus loin.)

.. Puisque personne ne meurt…

En effet, on ne peut échapper à la loi dite « des grands nombres », ni à celles du Hasard, ce sac bien étiqueté mais où on fourre pêle-mêle tout ce qui nous échappe, et dont on peut juste commencer de connaître quelques aspects, par exemple, les Vibrations et les fréquences, « le poussé à la limite ».

.. Puisque s’il y a des instants d’Eternité, surtout dans le domaine des sentiments, mais aussi dans la jouissance liée au fait de pouvoir penser notre Monde, et d’extrapoler au-delà de nos pôles (qui ne sont pas seulement le Nord et le Sud du globe terrestre),

il n’y a pas de petite et de grande Eternité.

Il y a la rémanence obligée de la Pensée, donc de ce qui est chacun de nous, avec, dans le Grand Génome de la Vie, notre existence : celle d’êtres qui ont été, sont ou serons semblables à chacun d’entre ces êtres qui utilisent la Vie comme support de la Pensée. (aussi faible ou forte soit-elle : comme celle des animaux et même des plantes). Puisqu’on se comprend et qu’on ressent les autres vies.

Ce qui vient d’être observé entraîne, pour tout être vivant, la non-existence du Temps tel qu’on le confond trop souvent avec la Durée, qui est pour Lui, comme l’enveloppe inconsistante et la forme obligée d’une goutte d’eau.

Ce qui n’est pas l’eau, bien sûr.

C'est ce qu’exprime le anti-héros du roman « Beau comme un tracteur neuf ».*

Avec ses mots de petit paysan arriéré et alcoolique, qui devient involontairement ce qu’on pense être un faiseur de miracles, et qu’on fera peut-être passer pour un instaurateur de rites (on peut y découvrir le ridicule de ces deux concepts)…

Il ose dire que le Temps n’a ni queue ni tête.

Si vous devez sourire de l’ami Gagneux et de ses façons d’être, n’hésitez pas à réfléchir après avoir lu ce roman :

Penser, ce n’est pas un péché comme n’hésiteraient pas à le laisser croire certains religieux-bornés et autres philosophes-bloqués, »

Qui ne sont pas majorité dans notre Humanité. ? Si ? Non !

Dieu soit loué ! (ou dénigré : ce qui rendrait utile son existence. Comme celle des voisins qu’on trouve acariâtres ou gentils, ou méchants : dans le seul but d’en dire du mal ou du bien).

On parlera bientôt de la Durée, (« On », c’est vous et moi si vous le voulez bien).

De la Durée et de la Vie physique (un peu) et psychique (beaucoup).

Mais surtout de la vie éternelle.

En attendant ne tombons pas dans cette envie qu’à l’Humain de tout vouloir systématiser, en érigeant en système indiscutable, ces quelques idées logiques. Méfions-nous surtout de ceux qui aimeraient voir notre « agglomérat-pensant » transformé en une société d’insectes.

Mais, j’ai osé tout de même, partant de ces constatations logiques, vous faire part de mes propres idées sur :

-Le mal (et le bien)-

-Le Bonheur-

-et l’Amour-.




Lire :

-fable : la guerre des lièvres et des lapins.


-roman : Beau comme un Tracteur neuf.

( à la fin du site ).



Appendice :

Bientôt je glisserai tout à la fin du site d’Adrien Bobèche ses considérations sur la Poésie, l’Art et la Beauté…


Ceci avant les poèmes de jeunesse d’Adrien.

(Edité depuis l’âge de 14ans et Prix des Ecrivains Méditérranéens à 19ans. Ce qui n’est pas un exploit mais peut-être le signe d’une certaine « fraîcheur d’âme » fort ancienne).



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Revoir l'ancien site web d'Adrien