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Le Mal - suite et fin -

(Amplifié par sacrifices d’animaux et jeux pour tuer)

Le côtoyer sans faux-pas vers ce précipice. C’est aussi se rattraper à temps.

Prenons comme exemple le doute.

Et son autre face : La confiance.

Un brin de l’un, mais surtout beaucoup de l’autre : ça ressemble à une recette de cuisine.

Et il ne serait pas bon d’inverser les proportions entre le sel et le rôti !

Pour certains, c’est mal faire que de vouloir par la logique, apporter des démentis en appuyant sur l’abcès jusque là indolore des affirmations aussi anciennes que ridicules.

Alors ?.. Doit-on se taire pour éviter la vindicte de ces gens qui seraient bien embarrassés si des miracles perpétuels et omniprésents venaient refouler la logique pure..

(mais « dure », souvent, à accepter)..

Les miracles existent certes. Ils sont liés au hasard, lui-même affecté du coefficient « Bien ». Ce que la mise en ordre mathématico-scientifique du hasard nous révèlerait autant existentiellement possible que son affectation de la valeur opposée.

Le lecteur peut emporter à son moulin préféré, ce grain à moudre :

-Le stress – la peur – le mal. Respect de la vie animale (pensée, rites, attaques, action et destin, acceptation et combat contre cette condamnation à manger en tuant ou simplement obligation de détruire les autres vies, pour s’en nourrir.

(Lire le roman : La fille de la meunière.)


Comme dans toute obligation, il faut « faire avec » en se créant et en s’imposant des règles (édictées par soi-même) liées, non pas à de soi-disant ordres-théorèmes (de théos = Dieu)’un Dieu qui n’existe que parce qu’il est pensé. Comme la vérité et autres abstractions. Y compris le Père Noël, les lutins et les fées des jolis contes pour enfants) mais s’articulant sur les idées simples, justes, logiques, qui sont :

-La modestie de chaque être y compris l’Homme.

-La responsabilité d’autant plus grande qu’on est un être qui (se croit) plus intelligent.

-L’égoïsme du partage c'est-à-dire qui nous fait ressentir et donc vivre tout (plaisir, douleur, envies) que les autres êtres possèdent à des degrés qu’on ne peut connaître (à peu près) que par référence à soi-même.




Lire :

-roman : Les confitures du haut de l’armoire.

(Le sabotier juif et philosophe).


-fables : Les amants de ver-homme..

.. et d’autres encore.



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